Jean Dupuis : l'économiste qui faisait le bien. Alors que paraît le livre de Jean Dupuis : "L’aubergiste oublié" (Beauchesne Éditeur), la Société d'agriculture de l’Aveyron vient d'organiser une manifestation de sympathie introduite par son président, Edouard Fabre, en présence notamment de Raymond Lacombe, président de Sol et Civilisation, Marcel Bruel (longtemps dans les rangs de la JAC), et de Claude Chégut, administrateur de Fert (Fondation pour l'épanouissement et le renouveau de la terre) et membre de la Société centrale d’Agriculture de l’Aveyron. Sensible à l'œuvre du fondateur de Fert, Claude Chégut a présenté ainsi "l'aubergiste oublié" : "Juin 1940. Un garçon de 17 ans part à vélo, sans prévenir ses parents. Il traverse toute la France, arrive en Espagne. Il se retrouve en prison, est livré aux Allemands. Il passe en Angleterre où il s'engage dans la Royal Air Force… C'est le même Jean Dupuis que l'on rencontre ensuite jurisconsulte de l'agriculture et des finances, responsable des services juridiques de la Caisse nationale de Crédit agricole, président de Société des Caves de Roquefort {de 1970 à 1985), directeur général d'Unigrains, etc. Sa devise pourrait être la nôtre : « Faire le bien et bien le faire » Avec ce livre pétri du limon de la réflexion, l'hommes d'affaires Dupuis délivre des messages généreux et, tel un visionnaire, trace des pistes d'avenir, qui révèlent que le monde de l'économie peut être accompagné de valeurs chrétiennes…